Paris, France
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Auteur/autrice : Stéphane Delphin

le site de la culture tambour

Aitssou loko (Adjabel website credit)

Atissou Loko : tambours vodou en milieu urbain

Le Mouvman Sanmba : « un des personnes lassées du Konpa , qui voulaient quelque chose de plus traditionnel. C’étaient des Port-aux-Princiens qui se rendaient aux Gonaïves (ville du nord) pour apprendre ou réapprendre le tanbour  » d’où émergeront des groupes comme Koudjay, Boukman Esperyans, Mapou de Azor.

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Tikok Vellaye : la mémoire des sens

Pour moi, le tambour, c’est le respect des ancêtres…Je sais que si je suis là, c’est grâce à eux !

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Menwar : l'appel de la Ravanne – Ile Maurice

Gamin, Il bidouillait ses instruments tel ce premier banjo monté avec une boîte de cirage, un manche en bois et une corde de nylon. Le Séga Ravanne (traditionnel), il l’approchait lors des bals du samedi soir où passée une certaine heure,  » les gens sont bien pétés et sortent alors le tambour « .

Les mots, la voix de Gramoun Lélé (RIP)

ITW Willy Philéas (Maloya) – fils de Granmoun Lélé – 1996

Willy Philéas est le fils de Granmoun Lélé, icône du Maloya qui n’hésitait pas à réveiller femme et enfants en pleine nuit s’il sentait l’inspiration venir. « Top performer », Willy Philéas était aussi l’interlocuteur privilégié de tous ceux qui découvraient le Maloya à partir des années 90

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